Inka Moritz, directrice de Hirslanden cliniques Bois-Cerf et Cecil, a répondu à notre série «3 questions à» dans laquelle elle nous partage sa passion pour son métier.
Pourquoi avoir choisi de travailler dans le domaine de la santé ?
Parce que c’est passionnant ! J’y travaille depuis plus de 30 ans, c’est un domaine à la fois très technique, éminemment humain et complexe. Complexe et exigeant de par la multiplicité de professionnels qualifiés qui y travaillent (médecins, soignants, personnel administratif, hôtelier et technique) et dont j’admire le savoir-faire. J’aime cette finalité de notre mission qui est de soulager notre prochain, d’améliorer sa santé dans la mesure de nos possibilités. J’apprécie de travailler en équipe et surtout j’aime l’atmosphère du biotope hospitalier.
Vous avez largement évolué professionnellement dans le domaine public. Est-ce un grand pas de passer du public au groupe de cliniques privées Hirslanden ?
C’est une nouvelle aventure pour moi, mais pas tant de ce point de vue-là. Je n’ai d’ailleurs pas toujours travaillé dans le public, j’ai fait des allers-retours, à l’instar de nombreux professionnels de la santé. Pour la petite histoire, j’avais d’ailleurs déjà travaillé à la Clinique Cecil comme physiothérapeute au siècle dernier ! À Cecil et Bois-Cerf, je suis agréablement surprise par le côté proactif et dynamique de l’ambiance.
Vous dirigez Hirslanden cliniques Bois-Cerf et Cecil. Que pensez-vous de cette double casquette ?
C’est une nouveauté et un défi à Lausanne, mais l’expérience a montré dans plusieurs autres villes de Suisse que c’était possible et que cela favorisait de facto la collaboration. Nous avons aussi la chance d’avoir des activités différentes, complémentaires et non pas redondantes entre les deux cliniques. Évidemment, cela me prend plus de temps de faire le tour de ce périmètre désormais agrandi pour une seule direction et je me réjouis de la suite de mes visites pour faire connaissance de chacune et chacun.